Dans l'émission de télévision Chez Fog, diffusée le 21 janvier 2007, il se déclare favorable à la liberté de circulation entre les pays, en évoquant le départ de France de Johnny Hallyday pour raisons fiscales : « Nous sommes dans la mondialisation : chacun peut s'installer où il veut, c'est la mondialisation, c'est le monde moderne, il n'y a plus de frontières, il n'y a plus de casernes [...], chacun a le droit de s'installer là où il veut[68]. Interrogée le 22 janvier 2007 par un journaliste de Radio Canada au sortir d'un entretien avec André Boisclair, chef du Parti québécois, Ségolène Royal a dit avoir en commun avec son interlocuteur les valeurs de « la souveraineté et la liberté du Québec[81] ». Sa candidature pour l’élection présidentielle de 2007 a été officialisée le 2 décembre 2006 par une annonce dans son fief, le Béarn, à Serres-Castet. Il souhaite aussi instaurer la castration chimique pour les criminels sexuels et proposer aux Français un référendum sur le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus odieux (viols ou actes de barbarie suivis de meurtre)[58].
Le 16 mai 2007, Nicolas Sarkozy succède à Jacques Chirac. Le thème de l'écologie est entré en force dans la campagne électorale via le pacte écologique de Nicolas Hulot. Elle ironise sur la performance de la France concernant les ventes d'armes aux dictatures.
En matière syndicale Nicolas Sarkozy se prononce pour qu'en cas de conflit dans les huit jours soit organisé un vote des salariés à bulletin secret. Gérard Schivardi dénonce[14][source insuffisante] le chantage aux subventions, sur les maires qui souhaitent le parrainer, par des dirigeants politiques de régions ou départements. On peut parler de « guerre informelle » qui s’appuie sur une stratégie de petit geste afin de renforcer l’impact des politiciens vis-à-vis des partisans : contribuer à des discussions, découper, recoller des informations[32]. Des futurs candidats aussi opposés qu'Olivier Besancenot, José Bové et Corinne Lepage en font publiquement état. Nicolas Sarkozy, Philippe de Villiers Jean-Paul Le Guen, Romdane Ferdjani, Sylvain Poirier et Édouard Fillias veulent également modifier la législation du droit de grève, afin notamment d'instituer un service minimum dans les transports publics. Les militants communistes choisissent à 81,05 % (41 533 votes) de confirmer cette candidature. L’utilisation des blogs par les politiciens est caractérisée par une « double expression individuelle » vis à vie de la population. À l'occasion de la campagne pour l'investiture socialiste à l'automne 2006 elle insiste sur le fait que toutes les alternatives à la prison doivent être développées et que des camps humanitaires encadrés par des militaires peuvent permettre à un mineur délinquant de « reconquérir l'estime de soi ». «The political business cycle». Le 20 décembre 2006, Bruno Mégret a annoncé qu’il ne se présenterait pas à l’élection présidentielle, mais soutiendrait Jean-Marie Le Pen lors d’une conférence de presse commune avec celui-ci[2]. Cette position va donc à l'encontre du traité de Maastricht, qui avait été soumis par référendum au peuple français en 1992, et qui prévoit que, si la mission de la BCE lui est bien dictée par les États de l'Eurogroupe, la conduite de sa mission se fait de manière indépendante. Dans un entretien avec Michel Drucker diffusé le 11 février 2007 dans Vivement dimanche sur sa femme, Jacques Chirac, à la question « Qu'est-ce que vous allez faire le jour où vous quitterez l'Élysée, que ce soit dans quelques mois ou dans cinq ans ? L'inscription sur les listes é…