Il n'a pas rompu avec les traditions, mais il a balayé toutes les conventions absurdes qui fleurissaient vers 1890. Mais ils se vengent sur ceux qui d’une manière ou d’une autre leur doivent des comptes, et s’efforcent de les contrôler.– Comment s’y prennent-ils vous enquérez-vous ? un voisin de table dans un café ?) Il conclut sa carrière comme critique de théâtre et de cinéma à partir de 1919 et pendant vingt ans, hebdomadairement dans L'Information, plus sporadiquement dans Le Journal, Comœdia et Le Monde illustré[9], et publie ses souvenirs : le Théâtre 1932-1933[9]. Jamais aucun de ces dossiers ne sera vraiment lu. il repose au cimetière de Camaret-sur-Mer. un collègue ? Il me dit, comme pour s'excuser : - Ne faites pas attention. Le ministère de la Culture parachèverait ainsi la constitution d’un ensemble autour de la musique à la Villette. Vous opinez. Il y a chaque saison quelque chose à glaner dans l’une des deux salles de ce théâtre, sans compter la petite pièce à l’étage, où l’on a vu plusieurs merveilles. En février 1900, il met en scène et joue dans Poil de Carotte de Jules Renard. Il a remisé sa trompinette, les abattoirs ne sont plus mais les bouchers sont de retour. Il est à l'époque le directeur de scène du futur réalisateur Léonce Perret. ATTENTION NOUS NE PRENONS AUCUNE COMMANDE VIA LE SITE INTERNET, IL FAUT VOUS ADRESSER DANS LES MAGASINS DIRECTEMENT. – Pas uniquement, répliqué-je. : 02 513 54 86 / E-mail : woltje chez skynet.be Conditions générales Du mardi au jeudi de 9h à 12h30 et de 15h à 19h Car je vous le demande, un jour ou l’autre, qui d’entre nous n’a un jour préféré acheter une version avec quatre clefs de sol indiquant l’excellence du produit, plutôt qu’une version inconnue de la même interprétation d’une musique ? En sept ans, il monte 364 pièces, soit une moyenne d'une par semaine[4], lançant dans ses « soirées d'essai » de jeunes auteurs comme Georges Duhamel ou Jules Romains[2]. Il a bouleversé l'art de la mise en scène. – Ils sont coupables, décrété-je.– Ah, vous inquiétez-vous, sont-ils nombreux ceux-là que vous chargez de ces crimes irrémissibles ? On veut saigner à blanc le théâtre Paris-Villette. Le renouveau de la mise en scène qu'il a initié et qui domine alors la scène française se poursuit sans lui, Jacques Copeau[8] et le Cartel des Quatre (Charles Dullin, Louis Jouvet, Gaston Baty et Georges Pitoëff), se plaçant dans un courant modernisateur également, mais « antinaturaliste ». Écoutez, dis-je.– C’est ce que je fais depuis six pages, me faites-vous observer.– L’autre jour, j’étais assis sur le siège arrière du break du directeur de ce Théâtre Paris-Villette inquiet du lâchage de son théâtre par les édiles de sa ville. La dernière modification de cette page a été faite le 27 septembre 2020 à 01:34. Est-ce une raison pour brader le théâtre Paris-Villette ? Copyright © 2017 Les Bouchers. » Cité dans «, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, conservatoire de musique et de déclamation, Société cinématographique des auteurs et gens de lettres, chevalier puis commandeur de la Légion d'honneur, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=André_Antoine_(homme_de_théâtre)&oldid=175066434, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des bases relatives aux beaux-arts, Page pointant vers des bases relatives à l'audiovisuel, Page pointant vers des bases relatives au spectacle, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Réalisation audiovisuelle/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Entreprises, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Une plaque fut apposée sur la maison ou il vécut de 1912 à 1934 au, David Bourbonnaud, « André Antoine, diffuseur et traducteur ?