Le film impressionne par sa façon de plonger le spectateur dans l'espace et par ses scènes d'action spectaculaires.
Or, au vu du titre et du pitch par cet « Ad Astra », il apparait assez évident que James Gray n’est clairement pas venu s’aventurer dans l’espace pour le seul grand spectacle… Pourtant – et cela à mon grand étonnement – « Ad Astra » peine dans un premier temps à s’imposer comme un film qui a quelque-chose à dire. Le plus ennuyeux de la planète... Sans intérêt.. Long... Une perte de temps.. Ya vraiment rien à en tirer.. Elle démontre qu’elle aussi a des talents de détective. Existentielles. Oui, faire un film dans l’espace n’a rien d’anodin ni de léger car – y aller pour d’autres raisons que le grand spectacle – c’est y aller pour poser des questions essentielles. Politique de cookies | CGU | 2726 abonnés
713 abonnés En mai 1940, la machine de guerre allemande envahit la France dont l’armée, comme la population, est en déroute. Devant tant de "maladresses" on peut se poser la question. En dehors du personnage principal, les autres protagonistes n'ont aucune profondeur et ne servent qu'à faire des transitions parfois maladroites dans l'avancement d'une quête forcément convenue. Lire ses 42 critiques, Suivre son activité On traverse un système solaire où, visiblement, toutes les planètes sont alignées. De nombreuses scènes sont complètement irréalistes, même de manière grossière, ce qui déçoit beaucoup. Fade, poussif, soporifique, déprimant. Dans cette vision du futur, des infrastructures y ont été installées, lesquelles permettent aux Terriens de vivre pratiquement comme s’ils étaient sur leur planète bleue.
2 h 3. James Gray, avec son perfectionnisme visuel, nous offre ainsi une odyssée spatiale somptueuse de beauté et d’étrangeté. Et en voilà un de plus.
- Les astronautes du vaisseau qui mène Roy de la Lune vers Mars sont-ils atteint de poliomyélite ou du syndrome "Pierre Richard" ? Du gros truc bleu au sommet de la station ? Une mort qu’il a tellement voulu fuir qu’au bout du compte c’est de la vie qu’il s’est éloigné. Il n’empêche que l’odyssée, visuellement inspirée et servie par un Brad Pitt fascinant, témoigne d’une singularité poétique dans sa manière d’illustrer le long chemin menant de la fusion à la séparation. Il pensait en avoir besoin pour s’accomplir. Puis entre le vaisseau qui arrête sa course au milieu de l'espace pour repartir comme si de rien était et Brad Pitt qui fait du surf-bouclier dans l'espace, ce film m'a achevé. Jean-Paul Rouve, Djibril Vancoppenolle, Dayla De Medina, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, La Femme qui s’est enfuie Bande-annonce VO, Exhibition On Screen: Frida Kahlo Bande-annonce VF, Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait.
Elle n’est pas ailleurs, au bout d’une quête chimérique. Préférences cookies |
Ad Astra est un (très) beau film, mais si certains resteront ébahis devant la mise en scène de James Gray, d’autres pourraient bien rester de marbre face au vide spatial.
Mais par contre, pour le reste : c’est morne. Métaphysique, "Ad Astra" est influencé par le "2001..." de Kubrick. Alors Anna décide de prendre les choses en main. Jean-Pascal Zadi, Fary, Caroline Anglade, Avec Dune, Avatar 2, Eternals, Suivre son activité Ainsi est "Ad Astra", film majeur dans l'absolu, réussite imparfaite de James Gray dans les faits, victime potentielle de bouleversements industriels qui ont peut-être - ou pas - façonné sa structure parfois frustrante. Après le suicide de sa sœur, Anna (Natalie Krill) part aux trousses du proxénète qui l’a poussée dans ce gouffre. James Gray signe un grand film de science-fiction intimiste et dépressif, comme une Face B de «Lost City of Z» vue par le prisme du fils. Les autorités ont tôt fait d’établir un lien avec une mission ayant eu lieu 30 ans plus tôt, au cours de laquelle Clifford McBride (Tommy Lee Jones), père de Roy, est disparu sans laisser de trace, alors qu’il était lui-même envoyé vers la huitième planète du système solaire. Gray maîtrise en orfèvre l'art du scénario et de la mise en scène.
Film de science-fiction de James Gray. Film de James Gray avec Brad Pitt, Tommy Lee Jones, Ruth Negga : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay.
Un début de vide intersidéral qui n’a pas été sans me gêner… Et puis est venu le temps du paradoxe.
Même si ses qualités physiques et intellectuelles exceptionnelles en font un spécimen rare de l’espèce humaine, cet astronaute d’un futur pas si lointain ne parvient pas à fuir sa condition de Terrien moyen.
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Vivant de leur art de façon modeste et rudimentaire, elles sont animées d’une forte quête identitaire.