À l'origine, les délégués élus étaient libres de leur vote lors de la Convention ; depuis la seconde moitié du XXe siècle, les délégués s'engagent sur un candidat et, de facto, ce sont les élections primaires qui déterminent le choix du candidat. Avant Elizabeth Warren le 5 mars, et enfin Tulsi Gabbard le 19 mars. Le quotidien américain publie une enquête après s'être procuré les données fiscales du chef d'Etat milliardaire sur une vingtaine d'années.

Donald Trump semble figurer parmi les présidents américains les plus impopulaires[16]. Au cours de son mandat, Donald Trump s'emploie à appliquer son programme. Les États-Unis ont élu Donald Trump mardi 8 novembre 2016 comme 45e président américain de l'Histoire. Au sein du parti au pouvoir, le Président en exercice, s'il n'a accompli qu'un seul mandat, est pratiquement toujours candidat à sa propre succession.

Puis les candidats recherchent des soutiens financiers. Après de multiples abandons, ils ne sont plus que deux candidats côté démocrate à être encore dans la course pour affronter Donald Trump lors de la présidentielle : Joe Biden et Bernie Sanders.
View the latest US election news, polls, results and voter information. Elle a le dernier mot sur la lecture de la Constitution des États-Unis et ses décisions s’imposent sur tout le territoire. Say you're in: https://t.co/KOTx0WZqRf pic.twitter.com/T1TLH0rm26, — Bernie Sanders (@BernieSanders) 19 février 2019.

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Un grand électeur peut décider de ne pas voter pour le candidat auquel il avait d'abord apporté son soutien ; les cas sont rares, mais on en compte huit dans la période contemporaine. En revanche, le choix du candidat à la vice-présidence est effectué plus tard, voire annoncé pendant la Convention. Pour succéder à son slogan de campagne de 2016 « Make America Great Again » (« Rendez l'Amérique grande de nouveau »), utilisé pour la première fois en 1980 par l'ancien président Ronald Reagan, il choisit en résonance : « Keep America Great »[14] (« Gardez l'Amérique grande »). C’est elle, et non les élus, qui ont le dernier mot sur les sujets clivants que sont l’avortement, le port d’arme ou encore la peine de mort.

Depuis le début de la course à l'investiture démocrate, de nombreux candidats démocrates ont jeté l'éponge : Richard Ojeda, Jay Inslee, Kirsten Gillibrand, John Hickenlooper, Bill de Blasio, Tim Ryan, Seth Moulton, Eric Swalwell, Julian Castro, Beto O'Rourke, Joe Sestak, Steve Bullock, Kamala Harris, Cory Booker, John Delaney, Marianne Williamson, Andrew Yang, Deval Patrick, Michael Bennet, Tom Steyer. Néanmoins, beaucoup d'observateurs prédisent qu'il pourrait à nouveau créer la surprise et être réélu, et ce en raison du manque de candidats démocrates capables de le vaincre[17] et du soutien de ses militants[18].
À 36 jours de l'élection présidentielle américaine, Donald Trump fait face à de nouvelles révélations. La désignation des grands électeurs et le choix des candidats font l'objet de règles établies par chacun des États d'où sont issues des traditions plus ou moins formalisées. Au fur et à mesure que les élections primaires se déroulent, on assiste à l'élimination progressive des candidats qui additionnent le moins de délégués.

Il faut noter, cependant, que pour beaucoup [Qui ? Les candidats doivent recueillir auprès des citoyens des fonds pour financer leur campagne mais ils doivent aussi s'assurer des soutiens en prévision de la véritable campagne qui est encore plus onéreuse.

Âgée de 87 ans, celle qu’on appelait par ses initiales, RBG – privilège des personnalités de haut rang comme JFK ou FDR (1) –, luttait contre un cancer du pancréas et avait été hospitalisée à deux reprises cet été. Certains pensent aussi que les midterms, élections de mi-mandat de novembre 2018, ont démontré qu'il restait solidement populaire parmi l'électorat républicain traditionnel[19] et que la situation de cohabitation politique pourrait tourner à son avantage[20]. Cela dit, pour être sûr de décrocher l'élection, ces cinq États ne suffisent pas à obtenir la majorité des grands électeurs. Ce principe pouvait entraîner la « cohabitation » forcée d’un président et d’un vice-président de deux partis différents. De nos jours, c'est le candidat à la présidence lui-même qui choisit son colistier. Comme cet homme, 213 millions de citoyens américains éliront leur nouveau président d'ici à demain soir. C’était donc un bon indicateur du résultat final. "Ses performances lors des débats ont été inégales comme jamais, pour dire les choses gentiment", a fait valoir le locataire de la Maison Blanche, dimanche, sur Twitter.

Sa nomination par Donald Trump est "un enjeu politique majeur", affirme le spécialiste des USA et maître de conférence, Jean-Éric Branaa. Ils organisent ainsi des diners privés auprès d'hommes d'affaires fortunés ou de célébrités pour récolter de l'argent[9][source insuffisante],[10][source insuffisante].

Selon certains spécialistes politiques, il est possible de prévoir quel candidat sera élu à la présidentielle avant même le dévoilement du vote populaire de la totalité des 50 États. La désignation du candidat par la Convention n'est donc qu'un pur formalisme. D’abord parce qu’il va retrouver une stature présidentielle dans un rôle institutionnel très important. Chaque État y a alors une voix, peu importe son nombre d'habitants ou de représentants.