[réf. Pour cet individu, cela a des conséquences importantes sur sa sensation d'être à l'aise ou pas, quel que soit le spectacle présenté. Natalia Koliada est diplômée d’un master de la faculté d’Histoire de l’université pédagogique de Minsk; elle a également suivi des cours de management et de gestion des affaires auprès des cycles de formation scientologues à Moscou, ainsi qu’au « Hubbard College américain »[12], une école non accréditée qui enseigne le management en utilisant les méthodes développées par le fondateur de l’Église de scientologie L. Ron Hubbard. Le lancement de ce nouveau projet théâtral est survenu au moment où la dernière troupe de théâtre indépendante en Biélorussie, la « Scène libre » (biélorusse : Вольная сцэна), avait été liquidée par les autorités, et lorsque plusieurs metteurs en scène des théâtres d’État avaient commencé à travailler avec leurs acteurs dans des appartements privés. Textes de Stanislavski traduits par Jacqueline Razgonnikoff. De façon générale, comme le rappelle Aristote dans La Poétique, les gens réagissent différemment dans la vie, et face à une œuvre d'art.

Une fleur pour Pina Bausch», site web du « Théâtre libre biélorusse » : www.dramaturg.org, 20 novembre 2009, Par exemple, dans le spectacle « Zone de silence » présenté à la XII, Pavel Séline, « La liberté sent le chocolat » (, Il est à noter qu’il existe une certaine compatibilité fonctionnelle entre cette technique théâtrale et la pratique scientologique d’, Rimma Ouchakevitch, « Un théâtre dans le système “Realpolitik” » (, Nikolaï Khalézine, « Le “Théâtre libre” biélorusse cherche les talents » (, Белорусский “Свободный театр” ищет таланты, Nikolaï Khalézine, « Le bilan : le général et le particulier » (. Voir la fiche de membre consacrée à la troupe biélorusse sur le site web de la Convention théâtrale européenne : Nikolaï Khalézine, « Conflit esthétique : les signes et les symboles » (. Мінск, 2007, УДК 821.161.3-6; ББК 84 (4 Беи)-4, Les tout premiers articles consacrés au « Théâtre libre » par la presse indépendante biélorusse ont été rédigés sous forme d’annonces publicitaires : cf. Son contenu est sous . Internet est considéré par certains comme un concurrent du théâtre voire un adversaire qui encourage le goût de la dématérialisation de relations, contraire à la proximité humaine propre au théâtre. À la cérémonie de réception du Prix des Droits de l’homme de la République française, qui s’est tenue au Quai d'Orsay le 12 décembre 2007 sous la présidence de Rama Yade, la directrice du « Théâtre libre » Natalia Koliada a notamment déclaré, en russe, que « Loukachenko a tué les gens dans son pays »[46]. Merci de l'améliorer ou d'en discuter sur sa page de discussion ! À l'époque impériale, chaque ville romaine a son théâtre, comme Ostie en Italie, Orange en Gaule ou Sabratha en Afrique.

L'acteur, exclusivement masculin, porte aussi des vêtements aux rembourrages voyants et cloturaux ainsi qu'une coiffure très haute, censés évoquer le gigantisme des dieux et des héros qu'il incarne. Vous pouvez préciser les sections à internationaliser en utilisant {{section à internationaliser}}. Les directeurs du « Théâtre libre » ont à maintes reprises renvoyé l’ascenseur aux dirigeants de la « Charte’97 », en nommant ceux derniers[62] à différents prix internationaux, comme le Freedom to Create Prize institué par une des plus grandes sociétés d’investissement sur le marché financier britannique, l’« Orient Global »[63], le milliardaire Richard F. Chandler et sa fondation « philanthropique » qui relie étroitement une vision instrumentaliste du changement social à un discours apologique sur la créativité humaine[64]; ou encore comme le « Freedom of Expression Awards »[65] institué par Index on Censorship[66] ; ou bien encore lorsque les directeurs du « Théâtre libre » Natalia Koliada et Nikolaï Khalézine ont endossé la fonction des conseillers en relations publiques pour la campagne présidentielle d’Andrei Sannikov[67]. En réalité, selon les estimations de la presse indépendante autochtone, il n’a été question ni d’une arrestation (qui, en Biélorussie également, constitue un acte de droit pénal), ni d’une mise en garde à vue, ni d’une interpellation, mais « d’un contrôle d’identité de police administrative » qui, selon le droit biélorusse, ne doit pas dépasser trois heures et se déroule sans rédaction du procès-verbal.