« Conquêtes de l'armée romaine sous Jules César » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior, https://fr.vikidia.org/w/index.php?title=Conquêtes_de_l%27armée_romaine_sous_Jules_César&oldid=1450028, Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0. Avant même sa célébration, le patricien Cinna proposa la main de sa fille à César.

Il y avait deux catégories de techniques : les techniques d’attaques matérialisées et les techniques d’attaques concernant les ordres de marche des soldats. Le reste des soldats se regroupait à l’intérieur du rectangle, bouclier au dessus de leur tête et mis les uns mêlés aux autres. Raymond Chirat, Jean-Claude Romer : « Les Conquêtes de César », in Catalogue des films de fiction de première partie 1929-1939, Publications du Service des archives du film du Centre national de la cinématographie, Bois d'Arcy, 1984, 161 pages, page 38 (ISBN 2-903053-16-2). Si au cours des batailles, le soldat faisait preuve de courage ou de compétences particulières, il pouvait être gracié et devenir un citoyen romain libre. Ces cohortes étaient divisées en centuries qui elles étaient composées d’environ 100 soldats. Mais Jules César n’était pas ignorant et savait que les guerriers gaulois étaient braves et sans peur. Durant cette bataille, Vercingétorix fut victorieux à la suite de maints efforts. Il fit de nombreuses guerres et enfin il conquit cette terre après avoir tué le chef des gaulois qui résistait. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Les_Conquêtes_de_César&oldid=159022182, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Distribution : Compagnie parisienne de location de films (CPLF), Durée : 70 minutes (exploité à Paris dans une version de 40 minutes). Parmi ces dix cohortes, il y en avait une qui était plus prestigieuse que les autres : la première. Ils étaient par la suite formés pendant plusieurs mois voir plusieurs années. Il fit traverser la Gaule de toutes sortes de messages codés appelant les hommes à la révolte, ce qui arriva.

Mais la cérémonie du mariage n’eut jamais lieu.

Il fallait des hommes âgés en moyenne de 17 à 60 ans mais les plus riches des citoyens pouvaient ne pas combattre. Chaque légion se composait de 6 000 soldats, donc chaque cohorte comportait 600 soldats. À l’inverse, les optimates, plus conservateurs, protégeaient les privilèges de la haute aristocratie. Il confisqua la dot de Cornélie et proscrit le jeune politicien, qui dut fuir Rome et se cacher pour échapper aux sbires du dictateur, alors même qu’il souffrait d’une crise de paludisme. Pour éviter un soulèvement général il fit pression sur la population mais croyant apaiser leur colère, il l’envenima davantage. César refusa. À son âge, César est encore célibataire et tout le monde se moque de lui.

La dernière modification de cette page a été faite le 5 mai 2019 à 18:04. Il unifia le pays dans une seule idée et se fit respecter en temps qu’homme voulant la liberté non en dictateur ou autre chef. La première cohorte avait une particularité car, contrairement aux autres, elle se composait de 5 centuries de non pas 100 soldats mais de 160 soldats, ce qui la rendait plus imposante. Mais Vercingétorix, la nuit venue, attaqua le camp romain endormi eu la victoire de part l’effet de surprise. Mais ce n’est pas par le siège que les romains furent vainqueurs c’est par la désobéissance des chefs gaulois. Il y avait enfin les prisonniers ennemis qui étaient obligés de servir leur nouvel empereur, ils étaient esclaves. Avant même sa célébration, le patricien Cinna proposa la main de sa fille à César. Il s’en méfiait et préférait l’avoir comme allié plutôt que comme ennemi. Mars et Vénus œuvrèrent manifestement de concert pour favoriser sa carrière. J.-C. Il était un enfant de patriciens et par conséquent suivait ses cours dans une brillante école.
Il y eut de nombreuses batailles livrées entre romains et gaulois durant la conquête de César mais deux batailles sont devenues particulièrement célèbres  : celle de Gergovie et celle d’Alésia.

[…]. Mais malgré des efforts importants, il n'y parvint que tard.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rome subissait depuis plus d’un siècle une crise politique, économique et culturelle sans précédent. Les positions des catapultes étaient simples : lorsqu'il y avait un siège autour d’une ville, les catapultes étaient disposées tous les 30 mètres, environ, et lançaient des roches toutes les 3–4 minutes à tour de rôle, ce qui fait que la ville en siège était bombardée de toute part et sans répit. Le résultat était un rectangle en trois dimensions, impénétrable et ravageur. Celui-ci était de posséder le territoire gaulois. Selon une tradition familiale, le fameux général descendait de Vénus, déesse de l’Amour.
Il était un excellent élève en toutes matières et se fit remarquer dès son plus jeune âge pour son goût à la discipline. Ils étaient des gens ordinaires qui, n'ayant d'autres choix, ou par envie, s'engageaient dans l'armée pour une durée indéterminée. Selon un célèbre quolibet antique, « César était l’homme de toutes les femmes ». Ils défendaient notamment les grandes réformes agraires. En effet, Vercingétorix, bien qu’enfermé dans la ville, fit lever une armée de secours à travers toute la Gaule. Il alla jusqu’à se ruiner en donnant des spectacles somptueux au peuple. Après sa victoire sur le monde romain le chef auvergnat décida de réattaquer de suite afin de bouter l’envahisseur hors de Gaule. Ces catapultes sont, en fait, ce que l’on pourrait qualifier d’ancêtres des canons actuels d’où le fait de parler d’un enseignement légué de la part des Romains. Ensuite pouvait commencer la rude vie des soldats, qui n’était pas de tout repos. Le système est bien plus simple qu’il n’y paraît. Les romains furent stratégiques et battirent les gaulois. Rien ne pouvait arrêter son ascension.

Pour éviter le recommencement du scénario de Gergovie, les romains firent des tranchées devant les premières lignes ainsi que de multiples travaux empêchant toute attaque gauloise.