En 1983, il est élu maire d’Antony, mandat qu’il conserve jusqu’en 2002. Il est accusé d'avoir participé, en janvier 1967, à un commando d'Occident qui avait attaqué des étudiants d'extrême gauche à Rouen[17] et est condamné comme « auteur moral », le 12 juillet 1967, avec douze autres militants d'extrême droite pour « violence et voies de fait avec armes et préméditation »[18]. Il est inhumé au cimetière communal d'Antony (Hauts-de-Seine)[59]. », « Je pensais que la vie était un combat. 1998-1999 : secrétaire national du RPR, chargé des questions sociales. La droite gagne en 2002 ; sous l'autorité de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, il est nommé ministre délégué aux Libertés locales où il met en œuvre l'Acte II de la décentralisation. Ma mère était française, de Boulogne-sur-mer, elle est morte accidentellement quand j’avais 6 ans. Sur sa liste, Jean-Yves Le Gallou est adjoint à la culture en tant que membre du Parti républicain. Il sort vainqueur de la seconde élection et est élu maire d'Antony. 2001-2002 : conseiller politique de Michèle Alliot-Marie, présidente du RPR. Etudes à l'école communale de La Frette-sur-Seine (Val d'Oise), au Collège arménien de Sèvres, au Lycée Condorcet à Paris, à la Faculté de droit d'Assas et à … Elu Président du Département des Hauts-de-Seine le 2 avril 2015.

En 1985, quand celui-ci adhère au Front national, Patrick Devedjian l'exclut de la majorité municipale[25]. J’ai été à l’école communale de La Frette-sur-seine, où avec deux petits Italiens nous étions considérés comme des « métèques » : quand on dit aujourd’hui que l’immigration d’hier c’était différent, on oublie vite les difficultés qu’ont connu les Italiens, les Polonais, les Espagnols,  les Portugais, les Arméniens… L’intégration cela prend forcément du temps. Ma famille est le pilier de ma vie. Vingt ans plus tôt, en 1985, Patrick Devedjian avait qualifié de « résistance » les actions de l'Armée secrète arménienne de libération de l'Arménie (Asala)[66] qui a commis une centaine d'attentats entre 1975 et 1983 dans le but de forcer la reconnaissance du génocide arménien par la Turquie et la communauté internationale. Rapporteur des accords du GATT en 1993 puis du budget de la Justice entre 1997 et 2002, il est l'un des rares parlementaires du RPR à avoir voté en faveur du traité de Maastricht en 1992. Il est ensuite réélu président du conseil départemental des Hauts-de-Seine (nouveau nom du conseil général). du 4 octobre 2005 au 5 janvier 2009 : élu le 2 octobre 2005, réélu le 17 juin 2007 ; depuis le 14 décembre 2010 : retrouve automatiquement son siège un mois après la cessation de ses fonctions gouvernementales, et est réélu le 17 juin 2012 au second tour, élection annulée le 18 octobre 2012 par décision du conseil constitutionnel, réélu au second tour de la législative partielle le 16 décembre 2012. du 30 mai 2002 au 27 octobre 2005 : deuxième adjoint au maire d', du 11 octobre 2002 au 27 octobre 2005 : président de la, du 29 mars 2004 au 2 avril 2015 : conseiller général des Hauts-de-Seine (élu dans le, du 2 avril 2015 au 29 mars 2020 : conseiller départemental des Hauts-de-Seine (élu dans le.

Patrick Devedjian, né le 26 août 1944 à Fontainebleau (Seine-et-Marne) et mort le 29 mars 2020 à Antony (Hauts-de-Seine), est un homme politique français. Après en avoir été exclu en 1967 pour cause de traitrise, Patrick Devedjian se rapproche du mouvement gaulliste, tout en regrettant ses erreurs du passé. Patrick Devedjian quitte ses fonctions à la tête du parti majoritaire, le 5 décembre 2008, quand il est nommé ministre auprès du Premier ministre, chargé de la Mise en œuvre du plan de relance, une fonction gouvernementale temporaire créée pour suivre le plan de relance économique français à la suite de la crise financière de 2008. J'ai été réélu en 2008 et 2011. Il parraine Nathalie Kosciusko-Morizet pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016[54] mais soutient Alain Juppé[55]. La nouvelle assemblée départementale m'a fait l'honneur de me réélire Président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine, Le logement social dans les Hauts-de-Seine. Je révère l’égalité, mais, quand il faut choisir, je choisis la liberté.