C’est même unique. sa victoire est clairement une vague de fond électorale et ne peut être ramenée à une embrouille mitonnée par l’« establishment » ; le sénateur du Vermont n’a cessé de répéter, durant ces primaires, qu’il ferait tout pour battre Donald Trump le 3 novembre, quel que soit le candidat démocrate désigné. Ses bons résultats dans les comtés ruraux et les petites villes du Michigan devraient inquiéter Donald Trump, menacé de perdre la base électorale qui lui avait permis de l’emporter, en novembre 2016, avec une avance d’un peu plus de 10 000 voix sur Hillary Clinton. Donald Trump décrochera-t-il un deuxième mandat ? Est-ce le début de la fin pour ce dernier, vainqueur du Dakota du Nord ? Lundi, les deux hommes ont sillonné le Michigan, s’attachant à marquer leurs différences mais se gardant d’attaques trop frontales. Épinglant les déclarations selon lui « stupides » du président sur le virus, il en a profité pour vanter ses promesses d’assurance maladie universelle qui donnerait à chaque Américain « un droit à la santé ». L’ancien vice-président de Barack Obama, 77 ans, dont les débuts de campagne avaient été difficiles, a repris la tête de la course destinée à désigner l’adversaire de Donald Trump à la présidentielle du 3 novembre. Tous jugent qu’il est le plus à même de battre Donald Trump et appellent les démocrates au « rassemblement » pour éviter que le milliardaire républicain n’emporte un second mandat. Le message est clair : qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre, les démocrates ont décidé d’en finir avec ces primaires et de choisir le candidat qui leur semble le plus à même de battre Donald Trump.
Gabbard 2 délégués (toujours en course !!!) Bernie Sanders, champion des progressistes et des jeunes, n’a pas réussi à mobiliser un nouvel électorat. → ENTRETIEN. (Jeff Kowalsky/AFP) Trump est le moins mauvais choix pour le reste du monde. Arrivé en tête en Caroline du Sud, puis dans dix des 14 États du Super Tuesday il y a une semaine, il engrange depuis les ralliements et s’envole dans les sondages. Ne pas savoir que l'électorat des états est très différent d'un état à l'autre, ce qui explique en soi, la variabilité des résultats. Cet État industriel de la région des Grands Lacs, durement frappé par la crise de l’automobile, avait toutefois donné tort aux sondages, en offrant la victoire à Bernie Sanders face à l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton lors de la primaire démocrate de 2016. Il a finalement choisi la première option et participera au débat, qui sera pour lui l’occasion de marteler une dernière fois ses principes et ses propositions. Joe Biden, qui a commencé son discours mardi soir en évoquant le virus, représente une alternative « adulte » qui pourrait s’avérer séduisante par temps de crise. Ont abandonné : L’Arménie et l’Azerbaïdjan au bord d’une « guerre d’envergure », Pizzas et pédophiles satanistes : les théories complotistes de QAnon s’exportent en Europe, Réglez avec Paypal: 15% de réduc avec ce code promo Airbnb, Bons plans Ouigo : Jusqu'à 50% de réduction sur vos billets de train dernière minute, Code promo SNCF : 5% de réduction en juillet, Code promo Omio : 5% de remise pour les étudiants, 70€ de réduction offerts en code promo Abritel, Olympique Lyonnais Casque Audio Bluetooth OL - Foot Lyon -, Logitech USB - Headset H340 Accessoires informatiques Original 981-000475 -, Bons plans Ouigo : Jusqu'à 50% de réduction sur vos billets …, L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle, sa gestion calamiteuse de la crise du coronavirus.
(BASTIANN SLABBERS/NURPHOTO/AFP) (Bastiaan Slabbers / NurPhoto / AFP), L’océan, d’immenses ressources pour notre bien-être, Roland-Garros: atterrissage réussi pour Thiem et Serena, en attendant Nadal, Les images des combats meurtriers entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan dans le Haut-Karabakh. Disparu. Dans le Missouri, où il avait fait jeu égal avec Clinton il y a quatre ans, le sénateur du Vermont se prend une dégelée mémorable, avec 25 points de retard sur son rival. Tout le monde s’attendait à une victoire de Joe Biden lors du « mini-Super Tuesday » de mardi où six Etats étaient appelés à voter, mais pas à une telle lame de fond. Muet ! Le champion des progressistes faisait campagne sur un double pari : mobiliser un nouvel électorat – les millenials, nés entre le début des années 1980 et la fin des années 1990, les exclus du processus politique, les minorités afro-américaines et hispaniques –, et démontrer sa capacité à reprendre ces États du Midwest (Pennsylvanie, Ohio, Wisconsin, Michigan) qui avaient basculé en faveur de Donald Trump en novembre 2016. Philippe Boulet-Gercourt, correspondant de « l’Obs » aux Etats-Unis, relate dans son carnet de campagne les petits et les grands moments de l’élection présidentielle 2020.
", votre podcast nord-finistérien qui passe au crible l'actu du foot local, de la Ligue 1 aux divisions régionales en passant par le foot féminin et les jeunes. Ces primaires … Elles commencent par le caucus de l'Iowa le 3 février et se terminent par la primaire du Connecticut le 11 août. « Nous avons fait un pas de plus vers la restauration de la décence, de la dignité et de l’honneur de la Maison-Blanche », a-t-il déclaré. Les Américains ne « veulent pas d’une révolution », a-t-il toutefois lancé, en se posant comme un pragmatique capable de réconcilier un pays divisé comme jamais. Devancé de 7 points dans l’Idaho, il est littéralement écrasé dans le Mississippi (66 points de retard). Il a commencé à le faire mardi soir, exprimant son « espoir que les jours de discorde appartiennent bientôt au passé » et en s’adressant aux partisans de Sanders : « Il y a une place dans notre campagne pour chacun de vous. Même dans l’Etat de Washington, l’un des plus à gauche du pays, que Sanders avait remporté avec près de 73 % des voix quatre ans plus tôt, les deux candidats font jeu égal. « On doit se battre mais on ne peut pas devenir comme l’autre équipe », celle des républicains, a souligné Joe Biden lors d’une réunion publique dans la ville de Flint.