Et est-ce réellement une bonne idée? La gagnante de cette première primaire citoyenne est Charlotte Marchandise[212]. Il propose à Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot « de construire une majorité gouvernementale sociale, économique et démocratique »[72] dont il exclut Emmanuel Macron : « c’est le centre, pas la gauche »[73]. Il décline la proposition du Parti socialiste de participer à la primaire qu'il organise, disant ne pas vouloir « s'enfermer dans des querelles de clans »[23],[24],[25]. Il annonce lui-même la « mort » du Front de gauche le 3 juillet 2016, ce que Pierre Laurent a démenti par la suite[92],[93]. Il réunit ses 500 parrainages le 1er mars. Emmanuel Macron, ancien ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique et président du mouvement politique En marche[19],[20],[21], annonce sa candidature le 16 novembre 2016[22]. « Le chiraquien Jean-Louis Debré votera Emmanuel Macron », Philippe Poutou sera de nouveau le candidat du NPA à la présidentielle de 2017, Présidentielle de 2017: Pierre Laurent égratigne Jean-Luc Mélenchon et tend la main à Arnaud Montebourg, Des milliers de personnes au meeting de Jean-Luc Mélenchon à Lyon... et à Paris, Le Grand rendez-vous – Jean-Christophe Lagarde, Création du Pardem parti de la démondialisation, Congrès des maires : candidat cherche édile pour parrainage, « Renaud Camus annonce sa candidature à la présidentielle, pour dire « non au grand remplacement », Haute-Saône : les petits partis se fédèrent au château de Nantilly, Entretien avec Jean-Luc Berruet, candidat à l'élection présidentielle, Annonce de candidature aux élections présidentielles françaises de 2017 de Sylvain Pierre Durif, le Messie, « Carl Lang, l’homme qui espère récupérer les déçus de Marine Le Pen », Le maire de Dannemarie candidat à la présidentielle, Après le rejet du Conseil d’État, Paul Mumbach envisage la présidentielle, Présidentielle.
Investiture d'Emmanuel Macron: Gérard Collomb ému aux larmes. Le 25 février, il annonce avoir les 500 signatures[86]. L'un des mouvements, La Transition, avait déjà prononcé le souhait d'organiser des primaires pour sélectionner son candidat dans la société civile[204],[205]. Selon les sources, il dispose en décembre 2016 de 200[26] ou de 400 promesses de parrainage[27].
En janvier 2017, un sondage le donne pour la première fois qualifié pour le second tour avec 24 % des voix, face à François Fillon (26 %), dans l'hypothèse où Arnaud Montebourg remporterait la primaire de la Belle Alliance Populaire et François Bayrou ne se présenterait pas[31]. Tout juste avant d'arriver à l'Élysée ce dimanche matin, le chef de l'État a dévoilé les noms de ceux qui l'accompagneront au quotidien au palais présidentiel. Elle réunit ses 500 parrainages le 7 mars.
Il lance une « alerte démocratique » en janvier 2017, craignant de ne pouvoir réunir suffisamment de promesses de signatures d'élus (il indique alors en avoir recueilli 200)[80]. De nombreux observateurs soulignent ou s'interrogent sur la « bulle médiatique » dont il ferait l'objet[33],[34],[35] : Mediapart relève que « presque une cinquantaine de couvertures de magazine » lui sont consacrées entre novembre 2016 et janvier 2017, contre « une poignée » pour Jean-Luc Mélenchon, bénéficiant d'intentions de vote moins élevées mais qui rencontre un succès similaire dans les meetings et sur internet[36] ; il recueille des soutiens y compris dans des titres de la presse américaine et britannique tels que le Financial Times ou Foreign Policy[37],[38]. Le second tour de l'élection présidentielle a été marqué par une abstention record avec 25.44% des inscrits qui ne se sont pas rendus aux urnes le 7 mai 2017. Parmi les convives à être salués par le nouveau président de la République, le maire de Lyon n'a pu retenir ses larmes face à celui qu'il fut un des premiers à soutenir. Reportage ce dimanche, où François Hollande a laissé la place à Emmanuel Macron en tant que président de la République.