coysevox salon de la guerre

; Antoine Coysevox a inauguré la graphie Coysevox et l'a adoptée définitivement à partir de 1679[3]. L’évêque de Strasbourg, François-Egon de Fürstenberg, prince-abbé de Stavelot, le chargea, en 1667, de la décoration du château de Saverne (Zabern), qui l'occupa quatre ans. Photo (C) RMN-Grand Palais (Château de Versailles) / image RMN-GP, Vue intérieure des grands appartements : salon de la guerre: Louis XIV à cheval couronné par la Victoire, Grand médaillon de Coysevox : Victoire de Louis XIV sur les ennemis de la France ; bas relief de Coysevox : Clio écrivant l'histoire du Roi (connu comme "Le passage du Rhin")- exécuté en 1681-1682 sur un dessin de Charles Le Brun. Buste de Louis XIV dans la chambre du roi. L’Académie royale de peinture et de sculpture l'admit comme professeur adjoint, « en considération du dessein qu'il avait d'établir à Lyon une école académique et d'aller y faire sa demeure »[7] le 28 janvier 1676, avec comme pièces de réception un buste du peintre Charles Le Brun (1619-1690), premier directeur de l'Académie, et un de Colbert (remis en 1679). La Marne, détournée des jardins de Marly et donnée à Brest en 1801 puis transférée au musée du Louvre à la Libération. Coysevox : Stuc, Salon de la Guerre. Monument funéraire de Colbert, Paris, église Saint-Eustache. Il fut le décorateur du navire de guerre le Foudroyant construit à Brest en 1690, qui devint le Soleil royal en 1692 après la destruction du premier vaisseau de ce nom. Au suivant, en 1704, six autres bustes de grands personnages contemporains. Click on a date/time to view the file as it appeared at that time.

Il vint à Paris à dix-sept ans travailler dans l'atelier de Louis Lerambert (1620-1670), dont il épousa en 1666 la nièce, fille du peintre Noël Quillerier, Marguerite, d'un an plus âgée que lui et qui mourut un an après leur mariage. En 1689, le Parlement de Bretagne lui demanda une statue équestre du monarque, qui fut fondue pendant la Révolution. », « Avec Coysevox commence la véritable série des portraitistes en sculpture », Déplacées en 1719 à l'entrée occidentale du, Dernière modification le 1 août 2020, à 14:21, Académie royale de peinture et de sculpture, Antiquités nationales, ou, Recueil de monumens, « La Bretagne offrant à Louis XIV le projet de sa statue équestre », Le musée de Rennes veut acquérir une réduction du Louis XIV à cheval par Coysevox, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Antoine_Coysevox&oldid=173463781, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Louis XIV en empereur romain vainqueur, salon de la guerre, 1715, Buste de Marie-Adélaïde de Savoie, appartements du dauphin et de la dauphine, première antichambre du dauphin, 1710. Clio écrivant l'histoire du Roi, salon de la guerre. Les praticiens sont des artisans spécialisés taillant la pierre, éventuellement en agrandissant ou en réduisant, suivant un modèle « mis aux points », c'est-à-dire où l'on a enfoncé des clous aux points caractéristiques, de sorte qu'on puisse vérifier l'exactitude de la reproduction quant à leur espacement. Guillaume et Nicolas Coustou, fils de sa sœur aînée Claudine[8], furent les élèves de Coysevox, comme François Coudray, Jean-Baptiste Lemoyne et Jean Thierry[a]. Vue intérieure des grands appartements : salon de la guerre: Louis XIV à cheval couronné par la Victoire ... Grand médaillon de Coysevox : Victoire de Louis XIV sur les ennemis de la France ; bas relief de Coysevox : Clio écrivant l'histoire du Roi (connu comme "Le passage du Rhin")- exécuté en 1681-1682 sur un dessin de Charles Le Brun. Français : Château de Versailles, salon de la guerre, Louis XIV en empereur romain vainqueur, par Antoine Coysevox, 1715, plâtre. Auteur de nombreux portraits sculptés en buste, spécialité nouvellement en vogue au XVIIe siècle[10] pour laquelle il fut très demandé[11], il sculpta aussi des portraits en pied, dont un du roi Louis XIV pour l'hôtel de ville de Paris, aujourd'hui au musée Carnavalet, et des portraits équestres, pour lesquels il étudia particulièrement les chevaux, leur anatomie, leurs mouvements. Vierge à l'Enfant, destinée dans un premier temps au coin de son immeuble d'habitation, acquise par la confrérie de Notre-Dame-de-Grâce et placée depuis 1771 dans le croisillon sud du transept de l'Église Saint-Nizier[43]. Antoine Coysevox ([kwazəvo][1] ou [kwazvo][2]) né à Lyon le 29 septembre 1640, et mort à Paris le 10 octobre 1720, est un sculpteur français. I, the copyright holder of this work, hereby publish it under the following licenses: Add a one-line explanation of what this file represents. Restant à Paris, il fut cependant nommé professeur l'année suivante, recteur en 1694, chancelier en 1716, il fut directeur de l'Académie de 1703 à 1705. Retrouvez les plus belles photos des œuvres d’art exposées dans les musées de … truetrue.