The club contested its first official match in 1920 defeating Section Burdigalienne 12–0. Nantes plonge donc brutalement au classement.

Cette saison est aussi l'époque de remaniements au sein de la direction en raison d'un grave déficit et Jean Clerfeuille devient président. En 1985, le club recrute le solide Yvon Le Roux en défense et l'excellent meneur Argentin Jorge Burruchaga, peut-être le plus talentueux de l'histoire du club[n 7], champion du monde un an plus tard[n 8].

L'équipe n'affiche plus la santé du printemps 2002, offrant un jeu offensivement appauvri et jouant les seconds rôles en championnat, avec une neuvième place au classement final. Après un parcours difficile (notamment Marseille en quart de finale) les Nantais se présentent sur la pelouse du Parc-des-Princes pour la finale. Dans l'immédiat, Arribas bénéficie de la présence de joueurs expérimentés, voire de grandes vedettes en fin de carrière comme René Dereuddre (1959-1961) et surtout cinq recrues majeures en 1961 : Pancho Gonzales en défense (1961-1963), Jean Guillot (1961-1965) et Pierre Grillet (1961-1962) en provenance du RC Paris et un duo d'attaquants de grande classe : André Strappe (1961-1963) et Thadée Cisowski (1961-1962). Renforcés par la venue de l'Argentin Enzo Trossero (sans lien familial avec Victor) venu pallier le départ de Sahnoun à Bordeaux, les Nantais bénéficient aussi d'évolutions tactiques (Henri Michel passant en défense après la retraite de Bargas), de la confirmation de certains talents (Bossis, Tusseau, Baronchelli) et de l'éclosion de nouveaux jeunes, notamment l'attaquant José Touré, fils de Bako Touré et deux latéraux, Michel Bibard et William Ayache. Les autres joueurs essentiels des deux premiers titres sont Sadek Boukhalfa (ailier gauche parti en 1965 pour rejoindre Bastia), Gabriel De Michèle (arrière gauche surnommé Jaïr par Ramon Muller[32]), Bernard Blanchet (« ailier moderne, capable aussi bien de déborder que de centrer, ou de se faufiler au centre, [...] remarquable dans le jeu aérien[33] », et souvent décisif), Rafael Santos toujours disponible pour pallier les blessures ou encore Jean-Claude Suaudeau (véritable relais d'Arribas au milieu, « parfait relayeur entre la défense et l'attaque[34] »). Pourtant, c'est en championnat que Jean Vincent relance le FCN avec une méthode surprenante. Le sport français vit décidément des heures difficiles, quelques semaines plus tard en rugby, le FC Grenoble se voit privé du titre de champion de France dans une sombre affaire[62],[63]. The club had formerly played its home matches at the Stade Galin, which today is used as a training ground.

Cette politique désastreuse s'accélère cependant avec le nouveau président Max Bouyer, nommé en décembre 1986 et à l'origine d'autres recrutements tout aussi inadéquats, en particulier Mo Johnston et Frankie Vercauteren en 1987, recrutés à prix d'or avec un statut de vedettes, et qui déçoivent chacun à leur manière. En coupe de France les Canaris sont défaits de manière surprenante par Saint-Leu (National 1), aux tirs au but et en coupe UEFA, handicapés par la blessure de leurs trois gardiens de but remplacés par l'entraîneur des gardiens Jean-Louis Garcia, ils perdent à Leverkusen (5-1) sur un score trop lourd pour être rattrapé à domicile (0-0). Le double une-deux qui s'ensuit avec Loko, le dernier ne touchant même pas le sol, suppose des heures de travail les yeux fermés, aboutit à cette reprise de volée du droit qui finit sur la gauche de Lama[68]. Cette saison semble d'ailleurs celle du renouveau puisque le FCN se hisse en finale de Coupe de France mais la surprise se transforme en déroute le 31 mai, au Stade de Colombes lorsque les Nantais sont balayés (5-0) par les Verts, alors au sommet du football français. Invaincus à domicile en championnat depuis le 15 avril 1976 (défaite contre le PSG), avec une série inégalée de 92 matches sans défaite (80 victoires et 11 nuls, 237 buts marqués contre 52 encaissés)[47], les Nantais sont finalement battus par Auxerre et un but de Patrick Remy. The following season, Bordeaux earned another appearance in the final, but again, failed to win the trophy losing 2–0 to Marseille. Then, I discovered the team. C’est comme ça... Dans cette compétition, il n’y a pas de secret : il faut des joueurs de niveau européen. À l'été 2000 Nantes perd notamment Antoine Sibierski, parti à Lens pour satisfaire ses exigences salariales[81], mais se renforce avec les arrivées notamment du latéral Nicolas Laspalles, du Sylvain Armand, de Stéphane Ziani, formé au club et prêté par Bordeaux, et enfin de l'attaquant Viorel Moldovan, recruté au Fenerbahçe SK pour le montant de transfert record du club (40 millions de francs)[84]. Angel Marcos d'abord, buteur efficace venu en 1971 pour succéder à son compatriote Hugo Curioni et pour enfin occuper un poste orphelin de Gondet. Mit dem Transfermarkt-„Groundhopping-Tool“ kannst Du die Partien aufzählen, die Du besucht hast.

Dans le même temps, le club renoue avec le recrutement de jeunes prometteurs : des défenseurs solides comme Patrice Rio ou Bernard Gardon ainsi que Raynald Denoueix, le jeune gardien prometteur Jean-Paul Bertrand-Demanes qui a déjà fait quelques apparitions dans l'équipe première dès 1969, Gilles Rampillon, un jeune attaquant de dix-sept ans qui, entre les entraînements, prépare les concours de Normale Sup au Lycée Clemenceau[38] ou encore René Donoyan, Omar Sahnoun et Claude Arribas (le fils de José).