Sébastien Lifshitz, Avec

Contre toute attente, c'est auprès du Rabbin Moshe Cattan, qu’Harry va accepter d'affronter la vie et son issue. Lire l'avis à propos de Holy Lands, Projection numérique, Sortie nationale - Un vieux cardiologue à la retraite abandonne tout pour aller élever des cochons en Israël, un postulat qui rappelle un peu Le Cochon de Gaza plutôt chiant et inutile où James Caan fait du James Caan, c'est-à-dire le vieux ronchon à moitié vulgaire. Sources : Unification. Restée à New York, après s’être découvert un cancer, son ex-femme Monica... Et ce ne sont pas les acteurs qui viendront ajouter de la crédibilité à l’édifice tant ils surjouent et semblent distants vis-à-vis de leur propre personnage (à l’exception de l’attachant Tom Hollander) : du jeu larmoyant et improbable de Rosanna Arquette à l’accent angliche de Patrick Bruel, les nuances se perdent, et tout éclate. Car même avec l’intention de « trahir » son best-seller Les Terres Saintes, Amanda Sthers, auteure touche-à-tout, ne parvient pas à en isoler une ligne directrice purement cinématographique. L'information sur le film, genre, classement, durée, photos, bande-annonce, synopsis et critiques des usagers. Suis-je ce critique endormi devant une pièce foireuse ? And are we heading for some resolution? Qui sommes-nous | James Caan plays an unhappy New Yorker starting a ludicrously inappropriate new life in Israel, Thu 4 Apr 2019 06.00 EDT Il … « Holy Lands » : une famille dysfonctionnelle de plus L’auteure Amanda Sthers signe une adaptation peu inspirée de son roman « Les Terres Saintes ». pour J.Caan. Il était âgé de 84 ans. J'ai passé un excellent moment.Petra. Cela est agréable de voir des films de cette sensibilité là.

Finalement le seul qui sort du lot... Malgré les nombreuses pistes narratives qu'il comporte, le film manque cruellement de perspective et n'apporte rien au final. 15 abonnés

Synopsis : Un jour, le vieux Harry Rosenmerck a tout plaqué et est parti s’installer près de Nazareth, en Israël, pour y élever des porcs. Quel gaspillage de talents pour un résultat extrêmement ennuyeux. Holy Lands : La critique. Je rajoute que l'on ne s'assimile à aucun personnage, aucune empathie créée. Harry’s daughter Annabelle (Efrat Dor) is a neurotic thirtysomething still dependent on an allowance from Harry for her analyst’s bills. : Restée à New York, après s’être découvert un cancer, son ex-femme Monica tente de gérer la vie de leurs grands enfants Annabelle et David, et revisite son histoire d’amour avec Harry. Courrez le voir, Amanda Sthers porte merveilleusement à l'écran son roman Les Terres Saintes, le casting d'acteurs est très réussi, et j'ajoute une mention particulière pour Rosanna Arquette qui est bouleversante... Film prenant du début à la fin. Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable. Lire ses 11 critiques, de Si no estás registrad@ puedes contactarnos vía Twitter, FB o por email a info -arroba- filmaffinity -punto- com. Richard Minier, Edouard Salier, De Critique-film est le site de tous les passionnés de cinéma et de séries TV. La fille (superbe Efrat Dor) se rend en Israel et rencontre l’amour et la maternité. Comme un dernier coup d’aiguille dans le ballon de baudruche qu’est Holy Lands. L'histoire de l'installation des cochons en israel n'est guère développée, et encore, de manière très simpliste....Tout est très convenu, dommage...Les acteurs ne sont pas vraiment dans le coup, on se dit qu'il ont cachettonné ( Bruel....!!!) Une histoire au potentiel dramatique immense qui apparaît trop peu développée et anodine à l'écran. Car Holy Lands manque cruellement de piment et de liant : tout semble désincarné, incontrôlé et chaque tentative de repartie mordante (ou autres saillies piquantes) n’existe qu’au sein d’un récit éclaté, aussi sage qu’éparpillé. Green Book : Sur les routes du sud (2019). His son David (Jonathan Rhys Meyers) is a dramatist and a gay man who has a play on Broadway about his exasperating old dad, based on the unanswered letters that he is sending him. Le film de Amanda Sthers n’est pas moins hétéroclite dans son ensemble, truffé de fausses bonnes idées et d’écarts thématiques superflus, enclin à une économie narrative drastique qui multiplie pourtant les digressions incongrues. Le fils auteur dramatique homosexuel se tient à distance.