Jan Kounen, avec 7 abonnés Et pour n'oublier personne - tout ce petit monde s'exprimant volontiers avec un langage de charretier : hommes, femmes (dont une lesbienne alcoolisée), "beurette" féministe et Antillais bougon et sentimental - tout cela est très politiquement correct. Pas trop fan de Joey Starr de base, je trouve qu'il apporte un interessant et savoureux mélange de tendresse/rigidité qui se complète en miroir par le personnage de Maïwenn qui incarne la sensibilité qui se complait à ce dernier, le duo fonctionne bien, et Marina Foïs maîtrise la froideur tel un séjour en Antarctique.

Ce que j'ai aimé :

Avec ce style documentaire et cette troupe de comédiens très crédibles dans leur genre, on est tout de suite complètement en phase avec ce film d'un réalisme rare et puissant au point d'en être même insoutenable et terrifiant ! "Polisse" draws us uncomfortably close to a taboo subject then rewards us with real nourishment. (Sorry.

Le tout pimenté d'essais assez pitoyables à l'humour pour casser la tension causée par le sordide et l'ignoble des cas traités (voir ainsi le sketch du comment récupérer son "très beau" portable). Ça se veut tellement vrai, que tout sonne faux. Et c'est là la grande confusion qu'instaure le film. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Est ce qu'on peut laisser passer ça? Car oui, premier plaisir, Maïwenn ne cherche pas à nous peindre l'univers de la police, mais au contraire, elle cherche bien à peindre SON univers. Les Productions du Trésor, Wild Bunch, Polisse commence mal puisque le générique n'est autre que celui de l'ile aux enfants,pour un effet too much incomparable.Le début ressemble a une mauvaise série tv de flic a la française,a l'image crade censé renforcé le coté immersion du truc,et au montage haché désastreux.Maïwenn ne semble maitriser que l’énergie quelle veut faire passer a l'écran.Puis ce vilain montage va se calmer par la suite,car il n'apporte rien si ce n'est d’être pénible.Maiwenn s'octroie un rôle celui d'une photographe suivant les policiers de la BPM.Un rôle sans intérêt qui n'a pour but que celui d'avoir une scène sur le racolage fait par les journalistes,qui et une métaphore sur le sujet choisit par Maiwenn pour ce film.Venant comme une sorte de je vais m'attaquer moi même aux critiques que vous pourriez me faire.Encore une fois un truc too much.Le film est bourré de défauts,seulement certaines scènes sont carrément efficaces.La ou des acteurs et actrices comme,Nicolas Duvauchelle,Karine Viard ou Marina Fois,jouent mal,car voulant interprété.Ne se révélant que dans le clash.Le seul sonnant constamment juste reste sans conteste Joey Starr impeccable dans chaque scènes ce qui est rarement le cas des autres comédiens.Polisse reste le meilleur film de Maïwenn,loin devant son insupportable bal des actrices et l’intéressant pardonnez moi.Maïwenn sait créer le clash et le conflit a l’écran,mais si elle reste dans ce registre sa va vite devenir lassant. Un film intéressant, qui est basé sur la brigade des moeurs. 4806 abonnés Whatever you think of it, you won't be neutral. Quel électrochoc !

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Et dans le film, il nous le rend au centuple! | Rating: 7.8/10 Dès l'ouverture de Polisse nous voilà prévenus : on jure de nous dire la vérité, celle naturellement qui sort de la bouche des enfants. 272 abonnés

| Rating: 3/4

La scène dans le centre commercial est une blague, des flics debout entrain de parler dans des talkies-walkies alors qu'ils sont censés faire profil bas pour arrêter un groupe de passeurs de bijoux. | Top Critics (28) crime, CinéCinéma, - Les deux participations de la brigade aux...

|. En définitive ce film ne méritait pas le prix qu'il a obltenu au festival de canne mais ça restera une injustice de plus. Ce n'est rien d'autre qu'un projet de vanité pour la réalisatrice. Even with their conflicts, with their occasional unprofessional behavior and with their childish management of conflicts, you learn how to respect them, because their human condition is no different than yours. L'avenir passe par nos enfants. Lire l'avis à propos de Polisse, Laissant de côté l'univers personnel et un peu trop douillet de ses précédents essais, la comédienne / cinéaste Maïwenn prend un peu plus de risques en s'attaquant à un sujet extrêmement délicat, collant aux basques de la BPM, se réservant le rôle d'observatrice, de lien entre le spectateur et le monde qu'elle décrit. Cela aurait peut-être permis de renforcer un scénario ténu et d'éviter la sensation d'un condensé de feuilletons que l'on éprouve vis-à-vis de la ligne scénaristique adoptée.