La troïka à la tête de l'école ménagère est incarnée par des actrices en état de grâce dont l'enthousiasme à composer leurs personnages est palpable.
La bonne épouse - Martin Provost - critique, Adolphe - Benjamin Constant - La critique, De sang-froid - Truman Capote - La critique, Don Quichotte - Miguel de Cervantès - La critique, Gatsby le Magnifique - Francis Scott Fitzgerald - chronique du manuscrit, une association culturelle à but non lucratif, Le film "La bonne épouse" à nouveau sur les écrans, Des vies à découvert - Barbara Kingsolver - critique, Adolescentes - Sébastien Lifshitz - critique, Au bout du tunnel - la critique du film + le test blu (...), Gébé, on arrête tout, on réfléchit - Pierre Carles, Yoga - Emmanuel Carrère - critique du livre, Quatre mariages et un enterrement - Mike Newell - critique, Papy fait de la résistance - la critique du film, Ça commence aujourd’hui - Bertrand Tavernier - critique, RIP . 170 abonnés Sans grand intérêt. Lire la critique de La Bonne Épouse. CGU | 77 abonnés Les écoles ménagères ont existé. Il peine à faire décoller le propos et reste assez fade. T1 - Tomomi Usui – chronique BD, Le blog de Cléo – Beka, Grégoire Mabire - chronique BD, Le col de Py . Lire ses 157 critiques, Suivre son activité par François Forestier Dans « La Bonne épouse », de Martin Provost, sympathique comédie qui ressuscite une école ménagère des sixties, on plonge dans l’ambiance amidonnée des bonnes familles. ! Tous droits réservés aVoir-aLire.com 2001-2014. Lire ses 1 776 critiques, Suivre son activité de celle que l’on forme dans ce type d’institution privée ou d’école ménagère. Avec un trio de choc composé des excellentes Juliette Binoche, Noémie Lvovsky et Yolande Moreau. Merci Lire l'avis à propos de La Bonne Épouse, La bonne épouse nous entretient d'une époque qui parait si lointaine mais ne l'est pas tant que cela, quelques mois avant la Révolution de 68.
Désolée aussi mais ce film est un vrai navet, pour une comédie ce n'est pas drôle et vraiment on nous prend pour des idiots. Et pour être un bon film, il faut suivre quelques règles. c'est affligeant ! #Emprise. :), c'est dommage que la fin soit gâché avec 5minutes supplémentaires de caca féministe. La famille Van der Beck dirige depuis plusieurs générations, dans une demeure cossue des Vosges, une école ménagère qui enseigne à quelques jeunes filles à devenir de bonnes épouses. Comme pour "La belle équipe" malgré ses défauts ce film aborde des thèmes intéressants et touchants. L’histoire de cette école ménagère dans les années 67/68 est intéressante à suivre et nous replonge dans le contexte de l’époque avec les remises en question liées à l’esprit révolutionnaire des mœurs. En revanche, elle ne s’est jamais penchée sur les comptes de sa petite entreprise. Lire ses 116 critiques, Suivre son activité On s’attendait donc à une critique mordante. Lire l'avis à propos de La Bonne Épouse, (Désordre de garçon de premières remarques fainéantes sans ordre et rangement. Le souci, c'est que l'époque est en plein chamboulement, la révolution féminine (entre autre) est en marche... La fin se perd certes dans un activisme un peu trop poussé. Et si la bonne...
Malgré des personnalités bien différentes, toutes trois font preuve d’un même talent, pour manier avec dextérité, détermination et goguenardise. Lire la suite, De film en film, Martin Provost n’a de cesse d’affirmer son féminisme, sous la forme d’un engagement qui n’a rien de vindicatif et encore moins de punitif, mais qui prend plutôt les allures d’un questionnement poussé toujours un peu plus loin, autour de figures féminines résolument hors-normes ; un trait que ses héroïnes partagent toutes, d’une manière ou d’une autre.