Retweet. C’est un sujet hyper compliqué et hyper sensible » confie un sénateur qui connaît bien le groupe. Il faut que les uns et les autres retrouvent la sérénité. Je réunis un certain nombre de conditions » dit René-Paul Savary. Après qu'ont été rappelées les différentes étapes de la carrière dudit Bas, le discours médiatique dominant insiste tout particulièrement sur son enracinement territorial dans la Manche, en contre-exemple du macronisme qui, lui, serait par définition hors sol- l'une des récurrences de l'extrême-droite et de Laurent Wauquiez contre le chef de l'Etat.

Dans l’entourage de Philippe Bas, on se refuse à tout commentaire sur la question de la présidence de la commission des lois. « Le faire à chaud, ça ne va pas être possible » estime ainsi un sénateur. Commission d'enquête covid-19 : Agnès Buzyn et Sibeth Ndiaye sur le grill, Pom-pom boys, petite brigade contre le sexisme, « On ne change pas un règlement huit jours avant une élection », Quatre candidats, dont Philippe Dallier, pour être rapporteur du Budget, Jean Bizet : « Le règlement s’applique à tout le monde », Une « foule » de candidats pour la questure, Les questeurs gèrent notamment les finances du Sénat, les vice-présidents président à tour de rôle la séance et ont aussi des fonctions de représentation. Si d’autres candidatures apparaissent pour les postes à responsabilité, c’est la semaine prochaine qu’elles se feront. Le sénateur Bas, sans doute emporté par sa soudaine notoriété, se laisse lui aussi aller à cette caricature ultra du macronisme, à l'envers de l'image modérée et sereine qu'il s'était construit d'une audition à l'autre.
Le règlement pourrait être modifié » explique-t-on. C'est Philippe Bas qui en convient. Au passage, La République en marche en prend aussi pour son grade, mais c'est (presque) secondaire: "le parti n'existe pas, il n'a pas de racines idéologiques, pas de racines territoriales, pas d'expérience politique". Quant à Hervé Marseille, à la tête du groupe, il y retourne. Ce qui n’est pas sans poser problème. La Cnil va enquêter sur le "fichage politique" des tweets liés à l'affaire Benalla, Affaire Benalla: la commission d’enquête sénatoriale excède les macronistes, Affaire Benalla: quatre questions sur la double motion de censure du gouvernement, Affaire Benalla : la commission d'enquête à l'Assemblée nationale implose, Pour réagir, veuillez vous connecter en cliquant ici, Budget: "exercice assez confus" pour LR, qui "ne répond pas à l'urgence" pour le PS, Fermeture anticipée des bars: "brutal" pour les maires EELV de Lyon et Bordeaux, Sénatoriales: le scrutin est clos, des élus dès le premier tour, Le député qui veut dynamiter la fiscalité.

Une commission des lois devenue commission d'enquête La procédure la plus courante est de créer, de toute pièce, ad hoc, une commission d'enquête. Il n’a pas à décider s’il veut venir ou pas venir. Vous incarnez les élites françaises du CAC40 et de l'administration réunies et vous voulez vous faire passer pour des révolutionnaires.

Aux 7.209 euros bruts de l'indemnité parlementaire mensuelle du sénateur, s’ajoutent pour les postes à responsabilité des indemnités de fonction supplémentaires : 4.196 euros pour les questeurs, 2.061 euros pour les présidents de commission et les rapporteurs généraux, d'après les chiffres de 2017. Remove; In this conversation Le reportage est sobrement intitulé : « Philippe Bas, l’homme qui fait trembler l’Élysée »  (à revoir ici) : Avec La Presse de la Manche, retrouvez l'actualité qui vous concerne, © 2020 actu.fr, détenu et coexploité par

Mis sous le feu des projecteurs par la commission d’enquête Benalla, l’ancien secrétaire général de l’Elysée est unanimement salué pour ses qualités. Une discussion – et un vote – entre amis.

5:47 AM - 21 Jan 2019. Tout ceci, ce n’est pas la politique du nouveau monde telle que je la conçois. Du côté du groupe Union centriste, la règle est simple : il n’y a en a pas. Elle continue : « Je fais partie des sénateurs élus depuis pas mal de temps.

A noter que du côté du groupe PS, Vincent Eblé devra aussi lâcher sa présidence de la commission des finances. A voir. Si le maintien de Gérard Larcher à la tête du Sénat ne fait aucun doute, tout comme la présidence du groupe LR à Bruno Retailleau, plusieurs postes sont ouverts. Il ne peut théoriquement plus se présenter. Like. Selon l’article 9, aliéna d, il n’est pas possible de rester à une présidence de commission plus de 6 ans. et ses filiales. Maurice Szafran François-Xavier Lauch, Alexis Kohler, ou encore Patrick Strzoda, trois hauts fonctionnaires de l’Élysée auditionnés par la commission d’enquête du Sénat invoqueront tous pour justifier leur présence au Sénat « l’autorisation » du chef de l’État. « Je considère que c’est une candidature incontestable et incontestée. En 2008, j’ai fait partie de ceux qui ont voulu un changement de règlement car on avait les mêmes qui étaient présidents de commission ou vice-présidents pendant 8 ou 10 ans. #Direct Un peu agacé, le président de la commission d'enquête Philippe Bas vient de poser une batte de base-ball sur son pupitre.

L’ex-chargé de mission de l’Élysée s’y est résolu, fustigeant les sénateurs et en particulier l’élu manchois qu’il a traité de « petit marquis » selon des propos rapportés par France Inter. Regardez Jean Bizet (images de Fabien Recker) : Les postes du bureau du Sénat, avec les vice-présidences, questeurs et secrétaires sont aussi en jeu, d’autant qu’ils sont limités à 3 ans, selon le règlement interne au groupe LR.
M. Griveaux, qui passe une grande partie de son temps à préparer sa candidature à la mairie de Paris, ferait mieux de s’occuper des préoccupations des Français. Philippe Bas veut faire la lumière sur le fonctionnement de l’État : Nous devons poursuivre notre travail dans la sérénité, bien que sous les projecteurs médiatiques. « Si personne n’était candidat, et qu’il l’était de nouveau, je voterai pour lui sans aucun problème.